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Rencontre/signature avec Dominique Forma auteur du livre Portraits cannibales, publié par Marest éditeur lundi 4 novembre 2019 de 18h30 à 20h à Hors-circuits 4 rue de Nemours 75011 Paris
le livre Dans la Rome des années 1950, la jeune Sophia est élevée par sa mère, strictement, et dans la promesse d’un grand destin. Après-guerre, l’argent est rare, et la future actrice découvre, dans les sombres recoins de Cinecittà, les heures moins glorieuses mais plus secrètes du cinéma italien. Berlin, les années 1920, un film éveille l’intérêt général : Le Cabinet du Dr Caligari. Le jeune Fritz Lang est ambitieux, il cherche sa voie, passant des lieux de débauche aux conquêtes amoureuses. Il a, pour seul confident, un mystérieux ami. C’est en toute liberté que Dominique Forma nous offre sa vision très personnelle de ces deux icônes du cinéma. Avec cet ensemble de nouvelles, ponctué par un hommage à Andréa Ferréol, l’auteur détourne la réalité, et nous la rend déformée et teintée d’un érotisme noir. Prix TTC : 12 € – ISBN : 979-10-96535-18-7 l’auteur Dominique Forma, né en 1962 à Puteaux, est un scénariste, réalisateur et écrivain franco-américain. Il quitte Paris et s’installe à Hollywood en 1991, où devient music supervisor pour plusieurs films, dont L’Extrême Limite de James B. Harris. Il se lance alors dans l’écriture et la réalisation de La Loi des armes (Scenes of the Crime) avec Jeff Bridges, Noah Whyle et Peter Greene. De retour en France en 2007, Dominique Forma écrit un premier roman chez Fayard, avant d’être repéré par François Guérif qui le publie chez Rivages dans la collection Rivages/Noir. Il poursuit cette carrière chez différents éditeurs (La Manufacture de livres, Robert Laffont).
> le site des éditions Marest éditeur
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la maison d’édition : Marest éditeur Marest Éditeur publie son premier ouvrage en novembre 2016 : Warhol/Hitchcock, un entretien inédit entre les deux maîtres. La maison poursuit avec deux recueils de textes d’Hitchcock, puis un livre oscillant entre roman et essai : Les dix meilleurs films de tous les temps de Luc Chomarat. Le ton est donné : la maison s’intéresse aux rapports qui unissent littérature et cinéma. Deux domaines se dessinent alors, l’un consacré aux essais sur le cinéma (récemment : Après la nuit animale de Jonathan Palumbo, Énigmes, cinéma de Olivier Maillart ou Chant-contre-chant de Pierre Sky) et l’autre davantage marqué par la littérature. Ce second domaine implique aussi bien des écrits de réalisateurs que des romans : Aventures de John Boorman (Prix du Meilleur livre de cinéma étranger du Syndicat Français de la critique, 2018), le Movie Journal de Jonas Mekas, Brune platine de Séverine Danflous, Un petit chef-d’œuvre de littérature de Luc Chomarat, Je ne sais rien d’elle de Philippe Mezescaze. La maison s’apprête à publier, en octobre 2019, Boorman, un visionnaire en son temps de Michel Ciment ou Georges Franju, le dictionnaire d’une vie, de Frantz Vaillant. Marest Éditeur publie environ 9 ouvrages par an. Son catalogue ne cesse de s’enrichir et est régulièrement salué par la presse. Par ailleurs, cette maison apporte un soin particulier à la fabrication de ses ouvrages et privilégie le travail avec les librairies, avec lesquelles elle a notamment coorganisé 27 évènements en 2018. L’éditeur: Après avoir fait ses armes chez Claude Tchou, Pierre-Julien Marest créée une première maison d’édition liée au cinéma en publiant, entre autres, Dark City d’Eddie Muller et José Benazeraf, la caméra irréductible d’Herbert P. Mathese en 2007, ou, en coédition avec Rivages, les mémoires de l’acteur Sterling Hayden : Wanderer. Il a par ailleurs œuvré en tant que critique de cinéma et notamment écrit des textes pour Télérama, Positif, La Nouvelle Quinzaine Littéraire, La Septième Obsession, ainsi que divers sites internet, dont Culturopoing.
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